Gay Pride BDSM story

Catégories : GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 8 mois
« Comment je suis passé malgré moi d’hétéro à gay à cause du selfbondage pourrait être le second résumé de cette drôle d’aventure qui a changé ma vie ».

J’étais tranquille, j’étais peinard comme disait Renauld dans sa chanson « Laisse Béton » dans son album homonyme sorti en 1977. Je rêvais qu’une Maîtresse tyrannique m’imposait des choses comme d’être attaché sous cage de chasteté métal avec plug dans les fesses pour se faire brouter le minou. Bon, en guise de « minou » je n’avais que mon imagination par contre, pour le reste, je m’étais organisé pour jouer seul.

Mon selfbondage devait durer une heure et, pour changer un peu de lieu, j’avais squatté les vestiaires du gymnase dont j’ai les clés, et pour cause, je suis le gardien. Les installations pour la musculation offrent des possibilités très sympathiques pour s’attacher tout comme les vestiaires avec les longs bancs. Les odeurs, pour moi des parfums suivant mes délires, varient beaucoup entre ceux des hommes et des femmes. Ce soir là, après avoir verrouillé les portes à 22 heures une fois le dernier client parti, je me suis fait un plan dans le vestiaire des hommes.

Pour faire durer les jeux et mes plaisirs, les clés de ma cage de chasteté et des menottes étaient au fond de la poubelle des filles que je n’avais pas vidée. Je devais aller en rampant comme un vers du vestiaire des hommes à celui des femmes une fois que la serrure de selfbondage BDSM d’une durée de 1 heure m’aurait libéré.

J’étais assis dans les douches des hommes avec des chaînes + cadenas aux pieds, avec mes menottes bloquées dans la chaîne des chevilles. Histoire de corser mon délire, j’avais également ajouté une chaînette allant de ma cage de chasteté à la chaîne de mes chevilles. Mon but était de faire un peu de CBT si je voulais aller plus vite pour me libérer car cela m’interdisait réellement d’allonger mes jambes. Côté sextoy, j’avais mis mon Rosebud bijou des profondeurs anales (40mm pour moi c’est gros) qui ne s’échappe pas facilement pendant les efforts ou déplacements.

La serrure de glace venait de me libérer de la chaîne m’obligeant à rester assis dans les douches. Dans mon trip, ma Maîtresse m’avait puni et humilié devant tous les sportifs en me disant, « et si ils voulaient profiter de ma bouche ou me pisser dessus, je n’avais rien à dire ».

J’étais à mi chemin entre les deux vestiaires et rampais tant bien que mal en tirant mes fesses comblées tout en essayant de ne pas m’arracher les burnes quand Max est arrivé. Mon coeur s’est emballé, ma gorge s’est serrée lorsque je l’ai aperçu. Lui aussi a eu l’air surpris de me voir dans cet état. J’avais zappé que ce C.. de gay prétentieux avait les clés du gymnase via l’association.

Il ne lui a pas fallu longtemps pour comprendre que l’on ne m’avait pas agressé et que c’était un plan BDSM.

  • Tu es seul ou quelqu’un va venir te libérer ?

Je lui ai répondu que j’étais seul pour l’instant et que ma Maîtresse allait arriver. Il ne m’a pas cru du tout et avait décidé de s’amuser à mes dépens. Pour commencer, il a posé son sac de sport et sorti son téléphone mobile pour faire des photos malgré mes réfutations. Comme j’essayer de cacher mon visage il m’a poussé et, dans la « bagarre » mot peu adapté vu que j’étais entravé, je me suis retrouvé couché sur le côté. C’est là qu’il a vu mon rosebud.

  • Oh, le petit gardien est une gourmande du cul privé de son gros clitoris. Mais cela ne serait pas plutôt un Maître qui s’occupe de ton cas ? Allez avoue !

  • Désolé, je ne suis pas gay !

  • Bisexuel peut-être ?

  • Non plus !

  • Pas encore !

  • Comment ça pas encore ?

  • Ben il va falloir négocier mon silence pour commencer. Ensuite, me dire où tu allais comme ça.

  • Cela ne te regarde pas, est-ce que je te pose des questions sur ce que tu fais avec ton cul moi ?

  • Mais c’est qu’il est agressif ce soumis ! Je me demande ce que penseraient les gens si j’imprimais une paire de photo de toi et que je les glisse dans leur vestiaires..... Je ne répéterai ma question qu’une fois. Où tu allais comme ça.

  • Dans le vestiaire des filles ! Allez oublie-moi s’il te plait et fais comme si tu ne m’avais pas vu.

Pour résumer, il m’a planté là pour aller chez les filles où il a trouvé mon sac avec mes vêtements et les clés de ma cage de chasteté, des menottes puis des cadenas. A son retour, il affichait un air de prétentieux triomphant et son sourire niais.

  • Tu es débile mais tu as une belle petite gueule d’amour et un beau cul. Disons que si tu ne veux pas que j’imprime des photos et les glisse dans les vestiaires, ou pire, que je t’abandonne ici sans les clés en laissant la porte ouverte, j’aimerai que tu me supplies de me tailler une pipe avant de te sauter !

  • Encu.... !

  • Oui des fois et c’est bien bon, mais c’est du tien de cul dont nous venons de parler. je vais te laisser le temps de méditer et aller faire ma séance de sport. Je rajouterai peut-être quelque chose en plus en guise de punition puisque tu m’as insulté !

Ce sadique m’a planté presque une heure avec mes doutes, mes peurs et une rage monstre en guise de compagnie. A son retour, il est allé prendre une douche et m’a lamentablement ignoré. Je ne savais pas si je devais m’en réjouir ou m’en inquiéter. M’en réjouir oui car pour la suite, après la douche c’est mieux ! M’en inquiéter et avoir peur aussi car il a été horrible !

CHAPITRE DEUX

Il est arrivé nu avec une chaise à la main. Après s’être assis dessus, il m’a demandé si j’avais réfléchi à son aimable proposition. Oui j’avais réfléchi et j’avais décidé d’abdiquer puisque je n’avais pas le choix. C’est avec la rage au ventre que je me suis entendu lui demander de m’autoriser à lui tailler une pipe.

  • Bien, tu progresses dans ta soumission aux mâles dominants, mais en guise de punition, avant que je te laisser sucer ma belle bite, il faut que tu commences par le bas !

  • Par le bas ?

  • Oui les pieds ! Je veux que tu me lèches les pieds pour commencer puis que tu remontes doucement !

  • ..... (Enfoirée de .... de sa..... P... de ......de .... de .... )

Il manque des mots dans les ...., on les appelle des qualificatifs peu élogieux mais je ne les ai que pensé, les dire était trop dangereux. Cet enfoiré avait décidé de m’humilier et cela ne faisait que commencer. Il m’a poussé par terre pour que je sois couché puis a posé le pied sur la figure en criant « lèche carpette ». La mort dans l’âme, j’ai donc léché son pied, ses pieds, bien entre les orteils comme il disait en me demandant ce que cela me faisait d’être aux pieds d’un homme.

D’un seul coup, il s’est levé et tourné pour me tendre ses fesses. J’ai cru qu’il allait me péter au visage et bien non, il voulait aussi se faire lécher le fion ! J’avais des envies de meurtre, je me faisais la promesse et des plans pour le trucider à petit feu le jour de « « son jugement dernier » » que je prévoyais proche. Comme je tardais, il m’a mis une gifle en me demandant si cela faisait partie de mes fantasmes. Il a ensuite rajouté que pour accéder à son auguste membre, le rituel obligatoire était de lui lécher les pieds et le cul.

Les mots n’arrivaient pas à sortir de ma bouche, j’ai fait un « oui » de la tête tant ma gorge était serrée par la haine. Quand il a tendu ses fesses, j’ai léché ses rondeurs que j’aurai bien fessées à la hache de guerre ou avec une barre d’acier rougie au feu.

  • Non, non, au milieu. Tu sais, là où on fait caca ou là où, on se fait enculer. C’est là que je veux sentir ta langue ! Presse-toi on va pas y passer le nuit.

Son trou de balle me faisait de l’oeil tel un cyclope agressif planqué entre deux montagnes de chair avec l’air de dire « t’as pas le choix, c’est ça où tu vas morfler ». J’ai fermé les yeux pour ne pas voir, un peu comme si je ne voulais pas voir et m’auto cacher la triste réalité devenue la mienne. Comme il trouvais que je ne m’appliquais pas, il m’a fait un facesitting musclé avant de s’attaquer à mes tétons et mes couilles très exposées par mon selfbondage.

J’ai hurlé de douleur entre les montagnes de chair avant qu’elles n’étouffent mes cris. J’ai encore du abdiquer, lécher sa rose qui, habituée à être sollicitée, n’a pas tardé à réagir. C’était comme si elle s’ouvrait sous mes coups de langue. Pendant ce temps, cet enfoiré à joué avec mon rosebud comme si c’était un gode. J’ai même eu peur qu’il me l’enfonce en entier tant il y allait de bon coeur. C’était la première fois que quelqu’un s’occupait de mon cul, cela m’a fait drôle et les sensations m’ont perturbé.

A la suite de quoi, quand il s’est relevé, j’ai pu voir sa bite ! Ouhaou, quel morceau ! Je me suis mis à prier tous les dieux de la terre et de l’univers pour qu’il n’ait pas envie d’essayer mon cul ! Déjà, sucer un tel calibre allait être difficile alors se le prendre dans les reins représentait pour moi d’être mutilé à vie. Il s’est assis jambe écartées et du doigt m’a « invité » à venir le sucer. Qu’elle horreur, qu’elle humiliation !

Je ne l’ai pas mordu et amputé de sa « fierté » par peur d’être massacré si je le loupais et de me retrouver le lendemain exposé comme une bête de foire, quand le public arriverait. On mon dieu, le scandale que cela ferait ! En plus, je perdrai ma place et pour le crédit de la maison, ben, ce serait un truc à me retrouver SDF car j’avais déjà deux traites de retard. J’ai donc fait la chose, je l’ai prise dans la bouche avant d’être guidé « pour être formé ». Tu parles, Charles.... Monsieur est un adepte des gorges profondes et si je n’ai pas restitué mon repas, c’est bien parce que celui de midi était trop loin.

C’est arrivé sans crier « gare », sa façon de me prévenir qu’il allait jouir a consisté à attraper ma tête et la plaquer contre son ventre. Je n’ai rien pu faire, ce putain de gay est grand et musclé, autant dire qu’avec ma carrure de demi portion et comme j’étais entravé, échapper à son demi-litre de sperme a été impossible. (J’exagère pour la quantité mais c’est l’impression que cela m’a donné)

  • Bien, c’était bien bon, j’espère que tu as apprécié. Nous allons faire la chose suivante. Je vais laisser les clés de tes menottes mais garder celles de ta cage de chasteté. Cela m’amusera de penser à toi ce soir quand, privé de ta nouille, tu penseras à moi. Je veux te voir demain à la même heure. Tu t’attacheras sur le ventre, fesses à l’air et bien offertes, sur le banc de muscu. C’est ça ou les grosses embrouilles pour toi. Mais rassures-toi, je serai doux pour ton dépucelage qui n’en est pas vraiment un puisque tu t’es déjà dépucelé avec des sextoys. Tu vas voir qu’une vraie bite, c’est franchement meilleur !

Mon coeur s’est serré, j’avais les larmes aux yeux et je n’ai rien pu répondre. J’étais piégé et angoissé par avance. Il m’a ensuite ignoré, s’est habillé et, avant de partir, a jeté les clés dans les douches.

Après m’être libéré, je me suis douché avant de rentrer chez moi avec cette boule au ventre ne semblant plus me quitter. Ma nuit a été horrible, elle fut peuplée de cauchemars, de scénarios divers où je l’attendais avec un couteau pour lui faire sa fête, puis une matraque me permettant après l’avoir assommé de lui voler son téléphone. Ce n’est qu’au petit matin, bien avant l’heure où sèche la rosée que j’ai fait un rêve érotique. Et pour cause, dans la cage de chasteté dont il avait gardé les clés, ma trique matinale et naturelle s’est manifestée. C’est le seul moment pendant les 24 heures précédant l’abominable rendez-vous où j’ai éprouvé de l’excitation.

Si j’avais déjà réalisé X selfbondages au gymnase, celui-la a été le plus difficile. Je n’arrivais pas à concrétiser, à accepter et j’avais réellement très peur de souffrir. A 22 heures j’ai donc fermé les portes avant de me jeter dans l’arène de ma déchéance. Si il m’était déjà arrivé de fantasmer sur l’idée qu’un mec me piège et profite, ce n’était réellement qu’un fantasme. Un fantasme que je n’avais absolument pas envie de concrétiser puisque je suis hétéro.

Le bloc de glace contenant les clés de mes menottes était fixé aux pieds du banc de musculation, par précaution je m’étais mis mon plug en espérant que cette petite dilatation préalable m’épargnerai un peu puis j’avais posé en évidence des préservatifs et du lubrifiant. Comme si en m’aveuglant je verrai moins ma déchéance, j’ai enfilé ma cagoule d’isolation BDSM. Outre le fait de ne pas voir, il ne pourrait pas se faire sucer. Lorsque j’ai fermé les menottes du condamné, j’ai eu l’espoir qu’il ne vienne pas, que ce soit juste pour me faire peur et jouer avec mes nerfs.

Si se préparer pour une séance de selfbondage et s’attacher peut être très excitant, là ce n’était vraiment pas le cas. L’attente fut cruelle, dans ma tête, des films d’horreur défilaient les uns après les autres. Si je ne l’ai pas entendu arriver, je l’ai senti. C’est fou comme quand on est privé de la vue, les autres sens sont plus forts. Allongé nu sur le ventre et sur le banc de musculation, mes fesses attendaient la sentence et surtout, s’attendaient à souffrir.

J’ai bondi de peur quand il m’a touché. Ses mains malaxaient mes fesses, les écartaient et parfois les claquaient un peu. Les dents serrées je m’attendais au pire. Lorsqu’il a retiré mon rosebud, pour moi, le pire n’allait pas tarder. A l’aide d’un truc type sopalin, il m’a essuyé l’anus, comble de la honte je me suis imaginé sale. Je n’ai compris pourquoi que lorsque après avoir écarté mes fesses il s’est mis à me lécher la rondelle ! ! !

Max prenait son temps et semblait vraiment apprécier. Au début j’ai détesté ça, puis finalement, se faire bouffer le fion n’est pas si désagréable que ça. Je sentais sa langue inquisitrice cherchant à l’ouvrir, sa barbe rasée du matin grattait un peu mon épiderme fessier pendant que de la main, il jouait avec mes boules et ma cage de chasteté. Sa proie est devenue victime de son savoir faire troublant pour un néophytes comme moi dans ce type de relation. Mon sexe réagissait malgré moi sans pour autant pouvoir bander. Puis se sont ces doigts chargés de lubrifiant qui ont pris le relais.

Monsieur prenait son temps pour « visiter les lieux ». Il a commencé par un, puis deux puis après je ne sais plus car son lubrifiant chauffait et j’étais en perdition en train de me faire dilater pour la suite qui, inexorablement, arriverait à un moment ou un autre. Le moment tant redouté a fini par arriver. Son gland est passé lentement entre mes fesses pour venir toquer à la porte. Ce sadique jouait à j’entre ou j’entre pas, il fait, mais ça je l’ai compris après, il cherchait à me décontracter. Comment aurais-je pu être décontracté ? ? ?

Cet enfoiré d’expert a réussi à passer ma petite porte sans me faire hurler de douleur contrairement à ce que je m’attendais. Il s’est allongé sur moi pour me caresser les épaules et les embrasser. Sa verge s’enfonçait lentement en moi et prenait possession de tout mon être, et pas que de mon cul. Comme pour épargner sa proie, il a commencé à bouger. A chacun de ses petits mouvements, mon anus semblait le suivre et s’étirer. Je n’avais pas vraiment mal, c’était juste désagréable. Puis, comme je m’y attendais, il a commencé à me baiser. Au bout d’un petit moment, la sensation de douleur disparaissait, mon anus semblait s’extasier et transmettait à mon cerveau des sensations ou émotions inconnues.

Pendant la longue chevauchée de celui qui était devenu « la jument » Max prenait son temps, un peu comme si il faisait du trot jusqu’au moment où il s’est mis à « galoper ». Et là, j’ai totalement perdu pied. A chacun de ses mouvements, ma cage de chasteté frottait en rythme sur le banc de musculation et me donnait la sensation de me masturber. J’ai fini par aimer cette sensation contre nature, d’être possédé, ramoné, de n’être plus qu’une « femelle » aux abois dans un plaisir d’un nouveau genre.

Il s’est soudainement logé au plus profond de moi sans plus bouger comme pour « féconder » la femelle soumise à son Priape de chair. J’ai presque regretté que cela s’arrête déjà. Après avoir longuement embrassé mes épaules, il s’est retiré lentement en me laissant la sensation d’être encore « ouvert ». Il est parti comme il était arrivé en me laissant seul avec mes contradictions et ma grande question : comment l’hétéro que je suis a t’il pu avoir du plaisir à se faire sauter par un gay ? Mon trou du cul me cache t’il des choses ? Oui j’aime le plaisir anal mais avec des sextoys, pas avec un mec ! ! !

Un moment plus tard, la serrure de selfbondage m’a rendu les clés des menottes ce qui m’a permis de retirer la cagoule et, avec les cheveux mouillés de transpiration, de me précipiter sous la douche. A mon retour dans la salle pour récupérer mes affaires, j’ai vu le préservatif et que le banc était mouillé là où mon sexe encagé s’était frotté. Avais-je joui ou simplement coulé ? J’ai donc fait le ménage avant de rentrer chez moi toujours encagé et tout honteux.

Le lendemain, après une énième nuit perturbée, j’ai reçu des textos traumatisants. Max m’avait envoyé des photos de notre première « « rencontre » » et de moi avec le rosebud dans le cul sur le banc de musculation. Il avait ajouté un message m’indiquant qu’il me voulait attaché nu et debout le soir même et qu’il aurait une surprise pour moi.

A ça, pour être une surprise, cela en a été une grosse !

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